lundi 21 novembre 2011

Alia Magda Al Mahdi, par le Collasophe

Son nom même la prédestinait à devenir la première et vraie icône «vivante» du printemps arabe. Alia signifiant élevée, Magda la glorieuse et al Mahdi tout autant « le bien guidé » que le messie, elle ne pouvait qu’illuminer de sa beauté le tunnel noir rouge de sang d’une saison virant au cauchemar.
À lire la suite sur Collasophie et poétrie

lundi 14 novembre 2011

La grammaire, c'est du costaud…


La grammaire, c'est du costaud… mais c'est rassurant : "Tous les verbes arabes et tous leurs dérivés nominaux se rattachent à une racine de trois ou de quatre consonnes." Sam Ammar, Joseph Dichy, Les verbes arabes, Hatier, coll. Bescherelle, 2e éd. avril 2008, p. 11

dimanche 13 novembre 2011

En progrès…

On me dit que mes progrès sont réels. L'écriture est plus fluide. La lecture s'améliore lorsqu'elle est répétée, répétée, répétée… Le plaisir est toujours aussi grand. Le simple plaisir d'écouter le même texte ou de nouveaux textes.
Le repérage des formes typiques, spécifiques m'enchante. Exemple ô combien riche : l'annexion c'est-à-dire الإضافة. Car chaque langue a son génie. Voltaire le disait ainsi dans son Dictionnaire philosophique :
"On appelle génie d’une langue son aptitude à dire de la manière la plus courte et la plus harmonieuse ce que les autres langages expriment moins heureusement.
Le latin, par exemple, est plus propre au style lapidaire que les langues modernes, à cause de leurs verbes auxiliaires qui allongent une inscription et qui l’énervent.
Le grec, par son mélange mélodieux de voyelles et de consonnes, est plus favorable à la musique que l’allemand et le hollandais."