Son
nom même la prédestinait à devenir la première et vraie icône «vivante»
du printemps arabe. Alia signifiant élevée, Magda la glorieuse et al
Mahdi tout autant « le bien guidé » que le messie, elle ne pouvait
qu’illuminer de sa beauté le tunnel noir rouge de sang d’une saison
virant au cauchemar.
À lire la suite sur Collasophie et poétrie
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